Hier je me rendais dans une librairie fade. Vous savez celles que l’on retrouve un peu partout en France et qui manque de contenu original comme de charme. Au hasard des rayons je suis tombé sur le livre « Quand la médecine gagne ». Je regarde les différents chapitres et comme especté je retrouve des grands classiques, allant de la vaccination contre la variole, aux greffes, tout en passant par les antibiotiques et la thérapie génique.
C’est sur ce dernier point que je me suis focalisé pour apprécier l’œuvre le livre en question car je suis fan de cette thérapie hors norme. Après tout la thérapie génique consiste à modifier génétiquement les cellules malades ou responsable de la maladie pour rendre les individus sain. Une grande révolution, au même titre que la découverte des antibiotiques qui pourrait envisager de guérir tant de maladies (toute les maladies génétiques, mais également du vieillissement, les infections virales, …). Je m’attendais à une critiques sociétale et médicale vis-à-vis de ce fabuleux exploit de la médecine qui malheureusement malgré l’espoir qu’il suscita et suscite est encore loin des promesses passée.
Dans le livre les professeurs Patrick Berche et Jean-Jacques Lefrère prennent comme exemple le cas des enfants bulles (expérience de Alain Fischer). Cette maladie récessive est du à une gène défectif porté sur le chromosome X qui provoque une défaillance du système immunitaire. Les patients doivent donc vivre dans une bulle en évitant tout contact avec des micro organisme qui pourrait les tuer facilement. Comme la pathogénie est récessive, portée sur le chromosome X et que l’espérance de vie est très courtes pour les patients, elle touche surtout les garçon. En effet un chromosome X pathologique avec un chromosome Y (XY = cas d’un homme), engendrera un individu qui est malade et donc à l’état de la connaissance et de la technologie, un individu malade qui n’arrivera probablement pas à se reproduire. En théorie, si l’individu masculin arriverait à se reproduire et qu’il le ferrait avec une femme (XX) qui porterait un gène anormal, ils pourraient engendrer une enfant du sexe féminin malade.
Dans le chapitres ils disent et je cite : « Cette anomalie leur est transmise par une mère en bonne santé, mais porteuse du gène pathologique ». Cette affirmation est déjà pour moi une forme de sexisme, pourquoi ne pas dire que cette anomalie leur est transmise par le père qui n’a pas donné sont chromosome X au lieu du chromosome Y ? Surtout que justement, cela montre que les femmes grâce aux chromosomes X, sont sur le plan de la génétique, supérieure aux hommes car elles sont moins sensibles à certaines maladies génétiques, les maladies dû à une gène récessif porté sur le chromosome X justement.
Ensuite, ce message porte peu d’espoir pour les patients atteint de déficit immunitaire sévère combiné, en effet, en cas de thérapie génique à succès, comme ce fut le cas avec les patients traités par le protocole de Fischer, les cellules pluripotentes qui donnerons des cellules immunitaires sont extraites des patients modifier génétiquement, sont ré-implantées et redeviennent effectives. Le système immunitaire des patients est rétablis, mais les spermatozoïdes (ou cellules germinales) responsable de la procréations et porteuse du chromosome sexuel X et Y sont toujours pathologiques. Donc à l’aune de nos connaissances et si cette thérapie était employé à grande plus grande échelle, on pourrait voir des patient sains masculins, qui pourrait transmettre leurs chromosomes X porteur du gène pathologique à des enfants du sexe féminin. Malheureusement à ce jours cela reste de la masturbation intellectuel car suite à quelques cas de lymphomes (cancer des lymphocytes), l’AFSSAPS à donner un coup d’arrêt aux essais cliniques en 2002. Et bien sûr cela est sans compter les tests génétiques qui pourrait être fait lors d’une pro-création assister médicalement qui pourrait permettre de sélectionner les enfants sains.
Dans tout les cas, et selon moi il s’agit malheureusement de sexisme et les auteurs accusent les femmes, alors que ils devraient plutôt mettre en avant qu’elles sont supérieures aux hommes sur le plan génétique.