C’est paru dans le point du 13 août. Un trader français travaillant à Londre qui avoue avoir 250 000 euros de bonus annuels. Il dit également: » A la city, un trader ne reste jamais plus de trois ans au même endroit. Un mauvais bonus et, hop! l’intéressé claque la porte. Ne sachant pas exactement comment déterminer qui sont les stars et qui sont les passagers clandestin, les banques préfèrent payer grassement tout le monde plutôt que de prendre le risque de perdre la poule aux oeufs d’or. « .
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